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Monthly Archives: avril 2019

Dhal de lentilles au curry et au coco

Dhal de lentilles au curry et au coco

Le CrossFit est une discipline exigeante, qui demande beaucoup d’énergie et parfois de sacrifices. Mais pas question cependant de sacrifier le goût, surtout lorsqu’on sait que l’alimentation est à la base de la pyramide de la santé et du Fitness.

A La French Co, nombreux sont ceux et celles qui ont réduit supprimé ou réduit de de leur consommation les produits animaux. Nous soutenons d’ailleurs le mouvement Le lundi vert qui propose de remplacer la viande, le posson (et les oeufs) par des alternatives végétales en chaque début de semaine

nous vous proposons donc aujourd’hui une recette entièrement végétalienne d’inspiration indienne qui satisfera tout le monde !

 

INGRÉDIENTS (pour personnes)

 

  • 300g de lentilles corail ou jaunes
  • 2 tomates
  • 1, 5 oignon
  • 4 petites gousses d’ail
  • 2.5 cuillères à café de curry en poudre
  • 3 pincées de cumin
  • 1.5 cuillère à café de gingembre en poudre (ou frais !)
  • 25 cl de lait de coco (petite boîte)
  • Sel au goût

 

Mettre les lentilles à cuire dans une casserole, dans leur volume d’eau froide (non salée). Stopper la cuisson lorsqu’elles sont encore al dente.

Pendant ce temps, émincer finement l’oignon et le faire doré dans de l’huile de coco ou d’olive. A mi cuisson, ajouter la tomate coupée, les épices et les lentilles égouttées.

Mélanger le tout puis verser le lait de coco afin de terminer la cuisson. Laisser mijoter encore quelques minutes en ajustant les saveurs.

Pour un plat complet : ajouter du riz basmati ou du riz semi complet

 

Auteur :

Marie SEMERDJIAN

 

 

 

Toast de patate douce : à toutes les sauces !

Toast de patate douce : à toutes les sauces !

Le CrossFit est une discipline exigeante, qui demande beaucoup d’énergie et parfois de sacrifices. Mais pas question cependant de sacrifier le goût, surtout lorsqu’on sait que l’alimentation est à la base de la pyramide de la santé et du Fitness. La French Co vous propose une excellente alternative au pain blanc : les tartines de PATATES douces. Du petit déjeuner au diner elles peuvent S’ACCOMMODER aussi bien de salé que de sucré.

 

INGRÉDIENTS (pour environs 4 tartines)

  • 1 grosse patate douce
  • pincée de sel

 

Version sucrée : 

  • Base : 1c à soupe de purée d’oléagineux : noix, noisettes, arachide, amande, sésame.. selon les gouts
  • 1 fruit de saison
  • Option : 1 carré de chocolat très noir, noix de coco..

 

Version salée : 

  • 1 c à soupe de guacamole, purée de tahini ou de cream cheese
  • 1 portion de protéine (oeuf, viande, poisson, tofu..)
  • Quelques tranches de légumes déjà cuits ou de crudités (tomates, concombre, salade, graines germées…).

 

Préchauffer le four à 200°. Eplucher la patate douce et couper des tranches d’1 cm d’épaisseur environ. Huiler légèrement les deux surface avec un sopalin imbibé d’un peu d’huile de coco ou d’huile d’olive. Frotter la chair contre un peu de gros sel.

Déposer les tranches sur la grille du four et laisser cuire quelques minutes à 180°. Garnir selon l’idée/ l’envie du moment.

 

 

Pourquoi c’est bon et healthy?

La patate douce possède un index glycémique modéré. Elle est riche en bêta carotène et vitamine C et contribue à alcaliniser l’organise.

 

Auteur :

 

Marie SEMERDJIAN

Comment la consommation de glucides raffinés peut vous rendre malade

Comment la consommation de glucides raffinés peut vous rendre malade

Vous le savez certainement, tous les macro- nutriments apportés par les aliments ne se valent pas. C’est notamment le cas des glucides. Certains ont une forte propension à élever le taux sucre dans le sang sous l’action d’une hormone appelée l’insuline, d’autres en revanche n’ont que peu d’impact. L’augmentation de la glycémie induit certains troubles (malaises « vagaux », pulsions sucrées, irritabilité, prise de poids, dérèglements hormonaux..).

 

L’index glycémique, une norme fiable

Au début des années 1980, deux chercheurs Canadiens ont rendu caduque la classification traditionnelle entre « glucides simples » et « glucides complexes » qui prenait pour hypothèse  que la vitesse de passage du glucose dans le sang dépendait de la structure des glucides. Grâce à leurs recherches, ils mettent en avant une nouvelle notion : l’index glycémique.

L’index glycémique est un indice propre à l’aliment, qui mesure sa capacité à faire augmenter le taux de glucose sanguin après son ingestion. L’étalonnage par rapport au glucose pur (valeur = 100).

Les glucides provoquent  une forte augmentation du taux de sucre dans le sang environ 30 minutes après leur ingestion. Plus l’IG est élevé, plus il fait monter la glycémie et plus  le pancréas va sécréter de l’insuline, hormone chargée de stocker le glucose dans le foie, sous forme de réserve.

Or, ces capacités sont limitées :  si le niveau de glycogène est déjà saturé (manque d’activité physique, consommation supérieure aux besoins),  l’organisme transforme cet excèdent en graisses corporelles.

 

Il se produira de surcroit une hypoglycémie  : sensation de faim, fatigue, nervosité, pâleur, frissons ou sueur, trouble de la vigilance, agressivité, envie de sucre…A savoir : ces petits malaises sont toujours « réactionnels » c’est à dire la conséquence de l’ingestion d’un aliment. Une personne en jeûne intermittent ou prolongé ne connaît pas ce type de phénomène. Le corps s’adapte et s’auto-régule très bien en sécrétant du glucagon, l’hormone antagoniste de l’insuline qui permet de relarguer les stock de glycogène hépatiques dans la circulation pour les convertir en énergie directement disponible. 

Outre les effets indésirables précités, à plus ou moins long terme une consommation excessive de glucides à IG haut peut entraîner les effets suivants :

  • Perte de sensibilité de l’insuline des cellules de l’organisme (résistance à l’insuline) ;
  • Excès de sucre et augmentation des triglycérides sanguins : prédiabète ou diabète
  • Obésité, hypertension, maladies cardio-vasculaires et affections neurologiques.

Ainsi, les aliments qui ont peu d’influence sur la glycémie ont un IG bas (en dessous de 55). Entre 55 et 70 on parle d’IG modéré et au-dessus de 70 d’IG élevé.

 

Quelques exemples : 

IG haut ( supérieur à 70) : Bière (110), pommes de terre cuites au four ou frites (95), galettes soufflées (95), pain blanc (90), carottes cuites (85), pop corn (80)

IG moyen (compris entre 50 et 70) : Banane (65),  Pain complet (55), pâtes blanches « al dente » (50)

IG bas (inférieur à 50) : Haricots rouges (40), pèche (30), quinoa (35), cacahuètes (15), légumes verts (10)

Un tableau plus complet ici : [Index Glycémique des principaux aliments ]

 

Variation de l’Index Glycémique

 

L’index glycémique d’un même aliment peut varier selon plusieurs paramètres qui influencent la structure des glucides :

 

Les facteurs augmentant l’index glycémique 

  • Rapport amylose (IG bas)/ amylopectine(IG haut) : plus l’aliment contient d’amylopectine et plus l’IG est haut
  • Le traitement thermique : l’hydratation et la chaleur ont pour effet d’augmenter l’IG (gélatinisation de l’amidon)
  • Le traitement technique : les aliments soufflés, grillés augmentent l’IG.
  • Le degrés de mûrissement et  de vieillissement : plus le fruit est mûr et plus son IG est haut
  • La taille des particules et le raffinage : les farines ont un IG plus élevé que les grains entiers de même que les farines complètes ont un IG plus haut que les farines blanches
  • Les laitages font grimper l’IG des aliments qu’ils accompagnent

 

Les facteurs permettant de faire baisser l’index glycémique : 

  • Plus il y a de lipides et de fibres naturelles dans un aliment, plus son IG est bas
  • Plus l’aliment est « brut » et entier et plus son IG sera bas
  • La consommation d’aliments acides abaissent l’IG d’un repas (citron, vinaigre..)
  • La cannelle, le poivre diminuent la glycémie
  • Le psyllium diminue l’IG d’un repas en augmentant la viscosité des aliments

L’index glycémique renseigne donc sur la qualité d’un glucide. Mais les effets d’un aliment sur l’organisme dépendent également de la quantité consommée.

 

Attention aux arnaques de l’industrie agroalimentaire !

 

Prenons deux pains :

 

1/ Pain de seigle naturel composé de 60% de farine intégrale de seigle et 40% de farine raffinée (fibres : 13g)

2/ Pain de seigle « enrichi en fibre » composé de 80% de farine de seigle raffinée et 20% de fibres ajoutées (fibres : 17g)

Les résultats obtenus sont édifiants :  le pain de seigle fait monter l’insuline  à 135pmol/L tandis que le pain enrichi provoque un pic à 231 pmol/L !

Certaines marques remplacent également le saccharose par … du fructose dans leur  pour tromper le consommateur qui, l’associant au sucre contenu dans les fruits se rabattent sur ces produits (confitures, yaourts, pâtes à tartiner) soit-disant « healthy ».  Sa présence dans les aliments transformés dérègle les hormones de satiété (ghreline et leptine). L’organisme ne reconnaît plus les signaux de satiété, ce qui accroit donc la sensation de faim.

Mais ce n’est pas tout, c’est ce même fructose, qui provoque  une accumulation de graisse viscérale et le redoutable syndrome métabolique. Il est aussi responsable de la maladie du soda ou du « foie gras » , aussi appelé NASH (la stéatose hépatique non alcoolique) qui est caractérisée par une importante quantité de graisse – non associée à une consommation excessive d’alcool – s’accumule dans le foie. Cette accumulation peut aboutir à une fibrose et une cicatrisation avancée (cirrhose) ou au cancer du foie.

 

La notion de charge glycémique : prendre en compte la quantité

 

Pour opérer un choix sur les aliments qui soit réellement fiable, il faut également tenir compte de la quantité d’aliment consommé. Celle-ci diffère logiquement d’un aliment à l’autre (on ne mange pas autant de purée que de chocolat par exemple, les portions « classiques » sont différentes). La charge glycémique évalue donc la capacité à faire augmenter la glycémie en fonction de la quantité consommée.

 

Le calcul est le suivant :

Charge Glycémique = [Index Glycémique x quantité de glucides d’une portion d’aliment (g)]/100

Quelques exemples :

  • Pour 150 g de purée. L’index glycémique de cet aliment est de 90 et la portion donnée contient 22,5 g de glucides. La charge glycémique est donc de de (22,5 x 90)/100, soit 20,2.
  • Une portion de 150g de carottes cuites, aliment dont l’IG est de 85 contient 7,5g de glucides. La Charge glycémique est de (7,5×85)/100 soit 6,37
  • Une portion de 30g de corn flakes, aliment dont l’IG est de 82, contient 25g de glucides. La charge glycémique est de (25 x 82)/100, soit 20,5.

 

L’index insulinique : pour en dire encore plus

 

L’insuline est l’hormone sécrétée par le pancréas suite à l’ingestion immédiatement  de glucides. Elle permet aux cellules d’utiliser le glucose disponible et évite ainsi que celui-ci ne reste trop dans le sang. La glycémie doit impérativement être maintenue entre 0,8 et 1,2 g/l.

L’index insulinique compare donc l’élévation du taux d’insuline dans le sang après l’ingestion d’un aliment, à celle provoquée par un aliment étalon de 100 (généralement le glucose) pour une  même quantité de calories  (240 kcal).  Les index glycémiques et insuliniques se recoupent globalement à quelques exceptions près. Lle yaourt dont l’IG autour de 60 est modéré a un index insulinique  très élevé, aux alentours de 120).

L’idéal est de privilégier les aliments ayant un IG inférieur ou égal à 50.

Enfin, il  peut par exemple une corrélation entre l’élévation anormale du taux d’insuline suite à la consommation de certains aliments et de possibles intolérances alimentaires ou une porosité intestinale qui laisserait passer des molécules non assimilables comme telles.

 

Quelles alternatives?

Le sucre et ses dérivés est présent partout :

  • Tous ce qui finit en -ose : maltose, lactose, dextrose, fructose, saccharose, galactose
  • Tous les sirops : de malt, de riz, de canne, de sorgho, de caroube, d’agave et le sirop de maïs aussi appelé “sirop de glucose-fructose” ou “isoglucose”
  • Les extraits de malt, amidon modifié, dextrine, dextrane, maltodextrine, diastase et malt diastasique

Les différentes mentions :

  • « Sucre » (au singulier) : signifie la présence de « saccharose »  dit aussi sucre de table
  • « sans sucres ajoutés » signifie que le produit ne contient pas de saccharose  mais il peut en revanche y avoir la présence de sucres naturels comme le fructose présent dans les fruits
  • « sans sucres » signifie que le produit ne contient pas des sucres simples : ni saccharose ni fructose, ni glucose. Il peut néanmoins être fait à partir d’édulcorants de synthèse (aspartame..) ou naturels (stevia..).

 

Même s’il est important d’apprendre à se sevrer du gout sucré, il existe néanmoins des produits de substitution. Les plus pertinentes pour nous sont le sucre de coco et le sirop de Yacoon qui présentent de nombreux avantages sur le plan nutritionnel et n’ont que très peu d’impact sur la glycémie.

Let’s stretch !

Let’s stretch !

La question des étirements revient souvent au sein de la communauté sportive. d’autant que la mobilité est l’une des qualités physiques requises dans la pratique du CrossFit.  Faut-il s’étirer? Avant ? Après? Quels sont les bénéfices? Le premier élément de réponse est très certainement que chaque corps est unique et réagira différemment aux sollicitations musculaires.

Mais il existe quand même quelques points essentiels à respecter.

 

LES DIFFERENTS TYPES D’ETIREMENT

Les étirements dynamiques  : ils se font par à coups en donnant un mouvement d’élan ou sur le principe du CR (contracter- relâcher)  Une tension maximale est atteinte dans la phase terminale du geste, renforcée par la force d’inertie du membre en mouvement.

Les étirements statiques : ils sont réalisés en mettant progressivement le muscle en tension, sans à coups. Il n’y a pas de déplacement des membres.

Qu’ils soient dynamiques ou statiques, les étirements peuvent être  :

  • Passifs : il y a ici une mise en tension du muscle au repos. Ces étirements sont utilisés après un entrainement et pour regagner en souplesse.
  • Actifs : il s’agit d’effectuer une contraction soit du muscle à étirer, soit du muscle opposé au muscle à étirer (muscle antagoniste). Le fait de contracter un muscle avant de l’étirer inhibe le réflexe myotatique (contraction du muscle pour se protéger des déchirements) et facilite son étirement. Le but est donc de décontracter celui-ci pour que l’étirement soit plus efficace et pouvoir gagner encore en amplitude.

 

QUAND S’ÉTIRER?

Avant l’entrainement : 

Les études et spécialistes s’accordent à dire qu’il ne faut pas faire d’étirements passifs avant une séance de sport.

Après un étirement, les faisceaux neuromusculaires voient leur sensibilité baisser, ce qui a pour effet de diminuer la contractilité.

Egalement, il se produit un phénomène vasculaire qui induit une moins bonne irrigation sanguine du muscle qui monte donc plus difficilement en température et se retrouve privé d’une oxygénation efficace pour réaliser l’effort qui lui sera demandé.

Il est donc préférable de faire des étirements actifs et dynamiques avant l’effort pour optimiser la puissance et la tonicité des muscles (ex montées de genoux, talons-fesses en courant).

Après l’entrainement : 

Une erreur de sens commun consiste à penser que les étirements font disparaître les courbatures : en réalité, ce type de sollicitation peut augmenter les lésions des muscles. De plus, lorsqu’il est chaud, le muscle délivre bien moins les informations aux neurones, notamment concernant la douleur et il est possible de casser les fibres par excès de zèle.

L’idéal est donc d’attendre environ une heure après la séance et d’avoir récupéré sur le plannutrionnel (protéines et recharge en glycogène). Dans ce cas précis, l’étirement n’aura pas pour bénéfice de gagner en souplesse ou en mobilité mais simplement de redonner au muscle sa longueur de repos. Sa durée doit être ici toujours inférieure à 30 secondes.

D’autres techniques sont intéressantes post-effort tels que les massages, l’alternance de bains chauds / froids, l’électrostimulation ou la récupération active (jogging à petites foulées, vélo…).

Entre les séances :

C’est le moment privilégié pour pratiquer les étirements. Chacun doit adapter sa séance d’étirements en fonction de l’activité pratiquée et de son ressenti, la seule règle étant de ne pas dépasser une minute de tension. Il n’y a donc pas de protocole universel en matière d’étirement : il faut surtout cibler les zones qui présentent des déficits d’amplitude et individualiser ainsi les pratiques.  Idéalement, les séances d’étirement doivent intervenir 3 à 4 fois par semaine et se coupler à du gainage et du foam coller.

 

QUELQUES CONSEILS

  • Choisir un endroit propice et éviter les athmosphères froides,
  • Alterner les muscles antagonistes et agonistes (par ex. quadriceps et ischios),
  • Effectuer 4 à 5 répétitions par chaîne musculaire,
  • Se concentrer sur la respiration pour veiller à bien oxygéner le muscle,
  • Ne jamais étirer un muscle lésé, courbaturé ou douloureux
  • Eviter la sensation de douleur : un étirement n’est pas mieux fait parce qu’il fait mal.
  • Téléchager GO WOD pour des séances personnalisées et un suivi de votre progression

 

Auteur :

Marie SEMERDJIAN

Poke bowl de saumon mariné frais et équilibré

Poke bowl de saumon mariné frais et équilibré

Le CrossFit est une discipline exigeante, qui demande beaucoup d’énergie et parfois de sacrifices. Mais pas question cependant de sacrifier le goût, surtout lorsqu’on sait que l’alimentation est à la base de la pyramide de la santé et du Fitness.

L’été approche et avec lui l’envie de consommer des produits frais, revivifiantS, qui font autant de bien au corps qu’à l’esprit.

 

 

INGRÉDIENTS (pour 4 bols)

 

Pour le tartare de saumon 

  • 600g de pavé de saumon frais sans peau sans arêtes
  • 200g de saumon fumé
  • 1 échalote
  • 2 citrons vert
  • 1 pomme Granny Smith
  • 2 cuillères à soupe d’huile de noix ou de noisette
  • 2 cuillères à soupe de sauce tamari allégée en sel
  • 1 cuillère à soupe de miel
  • aneth ciselé
  • sel, poivre
  • Baies roses

Choisir un saumon de qualité. Découper les pavés de saumon et la pomme en cubes réguliers. Peler et hacher finement l’échalote et mélanger le tout. Presser le jus des citrons, ajouter l’huile, le sel, le poivre, la sauce tamarin et le miel. Ajouter la sauce au saumon et à la pomme. Réserver au frais pendant 1 heure au moins.

 

Pour les garnitures

  • 200g de riz complet ou semi complet (pesé cru) cuit al dente ou 600g de poêlée de légumes neutres (chou kale, haricots verts)  pour une version low carb
  • Mesclun ou mélange de jeune pousse
  • Crudités coupés en julienne (carotte, concombre, tomates cerises, courgettes, poivrons..)
  • 1 feuille de nori en juliennes fines
  • 15 ml (1 c. à soupe) de sésame noir et blanc
  • 1 grosse poignée de graines germées
  • Coriandre, oignons frits (en option).

 

Déposer le riz ou les légumes dans le fond d’un grand bol ou d’un saladier. Ajouter les crudités autour et le saumon au centre. Saupoudrer avec les graines germées, le sésame, les algues, la coriandre et l’oignon.

 

Pourquoi c’est bon et healthy?

 

Le saumon est une excellente source d’Oméga 3, les crudités et les céréales complètes apportent les micronutriments (vitamines et minéraux), les graines germées sont pourvoyeurs de nombreux éléments biocatalytiques. L’algue nori l’iode, indispensable dans le bon fonctionnement de la thyroïde.

 

 

Auteur :

 

Marie SEMERDJIAN

 

Tout le vocabulaire du CrossFit en un seul article !

Tout le vocabulaire du CrossFit en un seul article !

Le CrossFit possède son propre vocabulaire : entre termes techniques et mouvements, son apprentissage peut être long et un peu fastidieux pour les néophytes. Petit lexique pratique des termes principaux.. à lire et a relire.

THERMES TECHNIQUES :

ABMAT : coussin à surfacelégèrement arrondie qui se place sous les lombaire pour ‘augenter l’amplitude de travail des sit-up.

AFFILIE : toute personne of ficiellement agréée par le siège et autorisée à ouvrir une salle CrossFit.

AMRAP/ AMREP : As Many Reps / Rounds As Possible, c’est à dire effectuer autant de répétition (ou tous) que possibles sur un Metcon.

ATHLETE : terme employé pour désigner les personnes pratiquant  le CrossFit au sein d’une box.

BENCHMARKS : il s’agit des MetCon de références qui permettent de voir la progression au fil du temps (Benchmark Girls, New Girls, Workout Hero..).

BENCHPRESS : développé couché

BOX : nom désignant une salle de CrossFit affiliée

BW – BODY WEIGH : poids du corps.

CLUSTER : thruster qui repart du sol

CHEST TO BAR  : mouvement de tirage (traction). La barre doit toucher le sternum

COUPLET : combinaison de 2 mouvements dans un Metcon.

DUMBELL : Haltère en fonte

EMOM : Every Minute On the Minute : un exercice ou une série d’exercices qu’il faut répéter toutes les minutes.

FOR TIME: il s’agit de réaliser un MetCon le plus rapidement possible. Le résultat obtenu correspond au temps écoulé pour réaliser l’intégralité des tâches données.

GHD (GLUTE HAM DEVELOPPER) : machine qui permet de travailler la sangle abdominale, les ischio et la région lombaire.

GPP : préparation physique généraliste (fitness).

IF : Intermittent Fasting. Intermittent fractionné.

KETTELBELL : cloche de fonte de différents poids utilisés dans divers exercices.

METCON : exercice de mise en condition du métabolisme visant à augmenter le stockage et la diffusion de l’énergie, quelle que soit l’activité. Il intervient la plupart du temps après ou avant un Skill.

MOBILITY : il s’agit d’ exercices pour s’assouplir et gagner en amplitude articulaire et musculaire.

OPENS : phase qualificative du championnat du monde de CrossFit, ouvert à tous les athlètes

PR : record personnel.

REPS : répétitions

RM : nombre de répétitions max que l’on peut faire avec un certain poids.

RX’D  :  As Prescribed, c’est à dire que le WOD est réalisé sans ajustements de poids ou de mouvements.

SCALED : modification ou ajustement des charges ou de mouvements lors d’un WOD.

ROUNDS : séries d’exercices.

SKILL : travail de la technique des mouvements.

TABATA : méthode d’entrainement qui consiste à faire un maximum de répétitions sur un intervalle de 10 secondes puis de récupérer 10 secondes durant 7 tours.

TIMECAP : temps imparti pour réaliser l’entraînement.

T&N (TOUCH AND GO) :

WARM-UP : échauffement qui intervient toujours en tout début de WOD.

WOD : entrainement du jour (incluant warm-up, skill, metcon, retour au calme et débriefing).

MOUVEMENTS :

ASSAULT BIKE : vélo avec résistance à air

BOX JUMP : sauts en plyométrie sur une boite.

BP : Bench Press, développé couché.

BACK SQUAT :  flexion profonde des jambes avec barre sur le dos et les trapèzes.

BURPEE : mouvement qui consiste à descendre en squat puis, poitrine au sol, regrouper les jambes de chaque côté des mains avec les pieds à plat et remonter et sautant en l’air et en tapant dans les mains.

CLEAN : mouvement d’haltérophilie qui consiste à amener la barre sur les épaules.

C&J : Clean and Jerk, épaulé jeté.

DEADLIFT: soulevé de terre.

DIP : mouvement de pompe aux anneaux de gymnastique.

DU : double under, double saut à la corde.

FRONT SQUAT :  flexion profonde des jambes avec une barre sur les clavicules.

HSPU : Handstand Push Up, pompes en équilibre sur les mains, tête en bas.

MU (Muscle Up) : mouvement de gymnastique qui consiste à passer au dessus de la barre ou des anneaux (mix entre pull-ups et dips).

MUSCLE (CLEAN, SNATCH…) : tirage d’épaulé ou d’arraché réalisé sans l’aide des jambes et de la hanche (en force).

KIPPING : aide des hanches

KTB (KNEES TO ELBOW) : littéralement Genou-Epaule. Mouvement qui consiste à se suspendre à la barre, et remonter les genoux au niveau des épaules grâce au balancier (arc – hollow).

LUNGES : fentes avec genoux au sol. Walking Lunges = fentes marchées.

OVH : Overhead Squats, flexion profonde des jambes avec une brarre,  les bras tendus au dessus de la tête en prise large.

PC : Power Clean, épaulé en puissance.

PSN : Power Snatch, arraché. Départ du sol et arrivée en quart de squat.

PISTOLS : squats sur une seule jambe.

PULL- UP : traction. Peut se réaliser strict, en Kipping (mouvement de balancier) ou en butterfly (mouvement qui part des épaules).

PUSH PRESS / JERK / SPLIT JERK: jeté de la barre au dessus de la tête avec légère flexion des genoux (dip).

PUSH-UP : pompes

ROPE CLIMB : montée de corde. Legless = sans l’aide des pieds)

ROW : rameur.

SUMO DEADLIFT HIGH PULL : variante du soulevé de terre qui consiste à ramener une barre ou une KB au niveau de la poitrine, coudes vers le haut avec les pieds largement écartés.

SIT-UPS : mouvements de relevé de buste au sol visant à travailler les abdominaux.

SKI ERG : ergomètre visant à reproduire un entrainement de ski de fond.

T2B : Toes To Bar, suspendu a la barre, mouvement qui consiste à amener les orteils à la barre grâce au mouvement de balancier.

THRUSTER : combinaison d’un Squat et d’un Push Press.

WALLBALL : mouvement qui consiste à jeter un ballon lesté sur une cible en hauteur en descendant en squat.

Auteur :
http://www.lafrenchco.fr/our-team/marie-semerdjian/ Benchmarks

Récapitulatif : La French Co Championship 2019 Event #1 @ CrossFit Des Ponts

Récapitulatif : La French Co Championship 2019 Event #1 @ CrossFit Des Ponts

Clap de fin pour la première édition 2019 de notre French Co Championship. Il est temps de faire un bilan de ce week-end fort en émotions.

C’est à CrossFit Des Ponts (Cavaillon) que s’est tenue la toute première édition 2019 du French Co Championship les 13 et 14 Avril. Cette compétition de CrossFit,  organisée à l’initiative du coach de la salle Corentin LE COSSEC, a mobilisé de nombreux bénévoles et des partenaires de choix :  Eleiko, DromFit, Pur Vitae, FitAid, Wodify,  Wodabox.

Athlètes et spectateurs ont également pu se restaurer auprès du food truck Burrito King et du stand Coeur d’Artichaut.

 

Quelques chiffres 2019 :

  • Complet : 60 teams de 3 personnes soit 180 athlètes
  • 40 bénévoles
  • 14 teams F/F/F de plus qu’en 2018
  • 239 tonnes de poids soulevés sur le WOD 3.
  • 1 équipe canadienne
  • Et du BMX

 

Photos de l’event :

 

Criss des Canadiens : 

L’année 2018 a été marquée par la création et le lancement du French Co Championship mais aussi par le départ d’Allan, le speaker (et de sa compagne Gaby), pour le Canada. Tous deux ont bien évidemment continué à pratiquer le CrossFit au sein de CrossFit 500, sous le regard bienveillant du Owner Maxime.

C’est avec un immense plaisir et grâce à un peu de logistique que nous les avons aidés à revenir pour l’occasion (merci à nos partenaires « Concessionaire Berbiguier » et Hôtel Le Mas d’Andiol). Un retour en fanfare puisque nos amis se sont hissés à la première place. Peut-être que le Jack Daniel’s au miel, auquel nos amis nous ont initiés, a le pouvoir de faire de n’importe quel athlète un bûcheron, tabernacle… ! Nous espérons leur rendre la pareille prochainement.

Nos trois piliers, Coaching, Communauté et Connexion, ont pris tout leur sens grâce à eux mais aussi à toutes les box de France qui étaient représentées.

 

Le mot de Corentin :

Encore 1000 merci à tous ceux qui nous ont aidés ce week-end. Sans vous on ne pourrait pas faire ça. La deuxième édition a été un succès. Je vous aime putain. ❤️

Pour tous ceux de la box qui ont participé, bravo ! Vous avez été des exemples de comportement et vous avez en plus performé chacun à votre niveau. Tous vos coachs sont fiers de vous. ❤️

 

 

Edition 2 : Summer 2019

La prochaine édition du French Co Championship aura lieu pendant l’été 2019 à Orange 84 CrossFit . Elle sera organisée par JB, épaulé de Fiona et Jordan.

Des WODs fun, de la bonne humeur, du gros son (et de nombreux fûts de bières 🍻).

Nul doute que tous les ingrédients que vous avez appréciés dans les Championship précédents seront de retour… Serez -vous là ?

 

Feedback des particpants

 

Merci à tous nos sponsors :

 

Merci à tous nos partenaires :

Coeur d’artichaut

Burrito King

Blandine Photographe

Christophe Salet Photographe

Concessionaire Berbiguier

Hôtel Le Mas d’Andiol

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